Cache-cache (pv Schisme et Etsuko)

Etsuko était en pleine partie de cache-cache avec ses deux nouvelles amies, toutes deux originaires d’une certaine clairière, clairière portant leur noms d’ailleurs... Oui, vous avez compris, ses amies étaient des tartines beurrées… Car, voyez vous, une fée, ça entends bien avec à peu près tout ce qui à un semblant de conscience, de préférence pas très développé. Y compris des tartines beurrées… Donc, comme une fée peut difficilement penser à deux choses à la fois, ce qui occupait pour l’instant les pensées d’Etsuko était la superbe cachette qu’elle allait dénicher dans moins de trente secondes. Oui, car elle était une fée toujours très optimiste et débordante de joie de vivre. Elle voleta quelques instants parmi les grandes herbes qui bordaient la magnifique cascade dont le doux murmure enchantait la clairière. Sans y faire trop attention, la petite fée aperçut un étrange individu qui semblait s’amuser dans la cascade, seuls la couleur des magnifiques cheveux qui couronnaient sa tête pu fissurer quelque peu l’étrange loi qui l’empêchait de penser à deux choses à la fois : L’individu avait une chevelure de la plus belle couleur qui soit, ils étaient bleu roi… Oubliant ce détail à la seconde où elle le percevait, la fée se remit en quête d’une cachette et repéra, folle de joie, un étrange amas d’objets multicolores qu’elle ne parvint pas à identifier et se précipita dessus pensant qu’il devait y avoir un tas de cachettes.
Etsuko trouva son bonheur dans une espèce de mini maison multicolore avec trois sortes de tours pointues sur le dessus. Toute heureuse, comme d’habitude diriez-vous, elle se faufila dedans et se trouva face à trois portes, qui, comme elle le déduisit, devaient mener aux trois tours qu’elle avait aperçues de dehors… (Vous noterez que ceci était une performance pour sa pauvre conscience) La pièce dans laquelle elle se trouvait avait du papier peint rayé noir et blanc… Ces couleurs lui donnaient un peu le tournis mais, une fois adossée au mûr, le « salon », car c’était manifestement une sorte de salon, redevint stable. Avec curiosité, elle s’approcha d’un des tableaux qui décorait la pièce : un couple de pingouins qui… posaient devant l’objectif. Comme toute fée qui se respècte, Etsuko ne s’étonna pas de cette image remettant en cause la place des pingouins dans la société. Elle sourit en contemplant le couple et passa à la photo suivante, cette fois-ci, c’était une jeune femme qui se trouvait sur l’image. La fée s’extasia un instant devant sa beauté puis s’approcha du cadre suivant : une peinture, toujours les mêmes pingouins… les autres images alternaient entre des portraits de jeunes femmes et des images de pingouins. Etsuko se demanda qui pouvait bien vivre ici, puis elle s’approcha d’une des trois portes. Elle hésita un instant, puis l’ouvrit …
Elle arriva dans ce qui était manifestement une chambre... et le propriétaire de la-dite chambre avait l'air d'être en adoration devant une certaine femme au cheveux blancs. en effet, les murs de la pièce étaient recouvert de portraits, de posters, d'images... enfin, de tout ce qui pouvaient représenter la-dire femme... Femme, qui, d'après les portraits, avait de quoi être adorée... Etsuko s'extasia un instant devant sa beauté avant de se rendre compte que cette chambre était occupée par une boule de poils, ou plutôt, de plûmes, qui était actuellement en train de foncer sur elle...

Le petit pingouin studieux etait assis devant une toile où il etait vraisemblablement entrain de peindre. Il y peignait deux fleurs, rouge et noir, dont les tige s'enroulé l'une sur l'autre. Ma foi, il etait plutot doué avec ses plumes, ce Piou. Tellement bien que l'on en oublierai presque le capharnaüm ambiant. Sur les murs incurvé, d'immense tableau représentant la Reine Blanche etait disposé ca et la. Des taches douteuse ornaient les murs et les draps d'un petit lit couvert de plume grise. Sur la table de chevet, on appercevait quelque croquis, douteux eux aussi, representant la Reine sus-citée dans le plus simple appareil... Piou... quel grand dessinateur... Au moins, il ne fait pas dans l'abstrait... Bref, concentration... Je disait donc, on appercevais les dits croquis ainsi qu'une petite note ecrite par on ne sais qui : "Piou, range ta chambre!". On appercevais aussi, dans un coin, un carré de pelouse verte avec au fond, une cabane de bois dont la porte etait décoré d'un trou en forme de coeur. A un clou pendait un ecriteau :"Pioupiou Room". Le tout accompagné d'une forte odeur de sueur. Ça sentait l'homme... Enfin, le pingouin. Le pingouin en question du entendre la porte s'ouvre, ou bien sentir le courant d'air, puisqu'il se retourna et constata la presence d'un papillon bleu dans ca chambre. Fait extraordinaire, le Papillon bleu avais de gros seins. Or Piou aime les gros seins. D'un pas decidé, Piou avanca dans le tube jusqu'au papillon (qui etait environ deux fois plus petit que lui) et commença a le peloter.

....


"Ah! C'est bon de faire corps avec la nature!"

L'homme, debout sur le bord d'une riviere assez profonde, plongea en un plongeons parfait. Ca chevelure bleu roi ondulait dans l'eau alors qu'il nagea en immersion assez longtemps pour que cela devienne inquietant. Il fit la brasse, puis le crawl. Si quelqu'un l'avais vu, il se serais sans doute demandé d'où il tenais sont équilibre et ca fluidité, ce a quoi il se serai empressé de repondre "Mais voyons monsieur, un bateau ne derive pas que si il possede une grande quille!" Et en effet, l'homme etait etonnement bien pourvu. Il maniait le Sextant de maniere legendaire et , en marin vétéran, il tenait la barre a deux mains.

"Capitaine Trichelieu! Sortez le Peniscope!"

C'est alors que, en une pensé nostalgique de son dernière abordage, l'homme grimpa en haut du mat épais et long. "Ah... Catherine... Ma petite vigie perchée en haut du mat! Criant et gemissant a l'approche de la grande masse blanche qui se profils au loin... Enfin... Tu as tout de meme criée bien vite, et nous n'avons jamais quitter le cap pour autant, le tout ta percuté, je crains que de la neige ne t'ai couvert le visage au bout d'une heure d'effort et de soupir. Ah... Catherine... Euh... Oui c'était bien Catherine en haut du mat..."

L'homme regagna peu apres le bord de la rivière. Il remonta et se secoua pour sécher. Il s'allongeât nu dans l'herbe, apres avoir fait le Zizicoptere afin de se sécher l'endroit, il disait toujours qu'il avais froid, sinon. Le soleil le sechat vite alors que deux tartine beurrée voletaient autour de fleurs en fleurs. Une foit bien sec, il se rhabillat et mit sont chapeau sur la tete. C'est alors qu'il entendis de petit cri etouffé. Il tappa sur le chapeau de fit "Piou, moins fort s'il te plait!" Puis, il siffla entre ses dents :" Putain d'adolescence..."

La petite fée n’eu que le temps de rien comprendre que la masse de plumes était déjà devant elle… aussitôt, elle ressentit comme une étrange sensation au niveau de la poitrine, puis elle compris que c’était l’être en question qui avait un comportement étrange concernant cette partie de son anatomie : Il était manifestement en train de lui toucher les seins. Une fois que cette information fut parvenue au cerveau d’Etsuko, il lui fallut encore l’analyser… Et, plus important encore, décider du comportement à adopter. Et oui, en effet, depuis qu’elle s’était rendu compte que, dans les situations étranges et inquiétantes, laisser son esprit aller à son rythme habituel pouvait s’avérer dangereux, la fée avait décidé d’adopter un raisonnement très simple quand une de ces situations semblait se profiler à l’horizon : Premièrement, observer ; Deuxièmement, analyser ; Troisièmement, comprendre puis en déduire ce qu’il fallait faire ; Quatrièmement, faire ce qu’elle avait conclu qu’il fallait faire. Pour une fois, Elle sauta la troisième étape et s’enfui de la chambre, ses petites ailes battant frénétiquement l’air derrière elle.
Une fois hors de l’étrange maison, elle revint à la troisième étape et s’interrogea sur ce qu’il venait de se passer… Ce que venait de faire la boule de plûmes étais très bizarre, elle lui avait touché la poitrine. Etsuko pencha la tête de côté, puis regarda ladite poitrine… Que signifiait donc cet acte ? Mais, en y repensant… c’était surprenant, mais pas si désagréable que ça… juste un peu… brutal. C’est sur ces pensées que -chose extraordinaire !- la fée se souvint de ce qui l’avait amené dans cet endroit. Cela lui revint précisément en voyant deux tartines beurrées se dirigée vers elle. Zut. Elle tourna les talons, ou plutôt les ailes, dans la direction opposée et lesdites ailes s’agitèrent furieusement… C’est ainsi que, morte de rire, l’insouciante créature s’écrasa contre quelque chose… chose qui, de par sa mobilité, s’avéra bien vite être vivante. Un géant !! Elle avait foncé dans un géant !! Adoptant son raisonnement habituel, Etsuko commença par observer : le géant était… comment dire… géant ! Et, très géant… Bizarrement, il lui donnait comme une impression de déjà vu… Possible… elle était tellement distraite… La première chose que remarqua la fée, outre sa taille gigantesque, fut ce qu’il y avait tout en haut de sa… gigantitude : Des cheveux, mais pas n’importe quels cheveux, des cheveux bleus roi ! La couleur de prédilection de la créature… Aussitôt, oubliant sa frayeur, elle s’approcha de ces magnifiques cheveux… C’était très amusant : de près, ils lui évoquaient énormément d’étranges brins d’herbe bleus… Ivre de joie, Etsuko commença à virevolter dans cet univers azur… Mais, soudain, coupant court à son allégresse, tel un tremblement de Terre, l’étrange prairie bleue commença à remuer.